Tout est musique. Un tableau, un paysage, un livre, un voyage
ne valent que si l’on entend leur musique…

Près de 3.500 personnes étaient présentes pour l’édition 2020 du traditionnel concert.

Quel accueil de la part des Narbonnais pour ce premier concert du nouvel an dans l’écrin de choix qu’est la Narbonne Arena ! Chaque année, les places (gratuites) partent comme des petits pains, et cette cuvée 2020 n’a pas dérogé à la règle. Pourtant, des 900 places du théâtre, la jauge est passée à 3.500 places !

Dans les travées de la salle de concert, le bal des ouvreuses en gilets rouges est incessant, pour guider les spectateurs vers leur siège.

À l’arrivée des 50 musiciens de l’orchestre d’harmonie, la salle se lève comme un seul homme. Avant les premiers coups de baguette de Laurence Fraisse et Bertrand Bayle – les directeurs musicaux – le maire adjoint Bertrand Malquier a prononcé quelques mots, comme le veut la tradition. Après son bref historique de l’orchestre d’harmonie et de ses illustres prédécesseurs, il s’est retiré pour laisser place à la musique.

Intitulé De Vienne à Madrid, le concert a fait la part belle à des morceaux de Johann Strauss fils, de Dmitri Chostakovitch, de Iosif Ivanovici, d’Émile Wadteufel ou encore de Johann Strauss père, de Frederico Chueca ou encore de Manuel Penella.
Conquise, la salle a beaucoup apprécié cette édition 2020 du concert du nouvel an, qui s’est achevée par un tonnerre d’applaudissements.